Promos Véronique Sanson,
novembre 2023


20 novembre 2023

Souvenirs de tournage. Dans sa loge, Véronique voudrait bien savoir ce qui l’attend. Elle sait que Christopher est là, demande d’aller vérifier s’il est bien maquillé. On répond qu’on ne sait pas où il est – alors qu’on vient juste de le voir à l’étage au-dessus avec Zaz. Elle pense que Violaine est là mais on jure que c’est impossible (le lundi, c’est Restos du Cœur) – ce qui ne la convainc pas le moins du monde. Panique tout à coup : on entend distinctement les accords d’Amoureuse ! Les répétitions ont commencé dans une loge juste au-dessus… Parade : on va tous se parler comme des sourds pendant ce temps là. Gros gros sketch…


En chemin vers le plateau, on croise Julie Rousseau, qui se planque illico derrière une partition. Oups… 
Installée dans un petit studio, Véronique doit maintenant répondre, avec une infinie patience et son éternel joli sourire, à une batterie de questions qui se ressemblent toutes (“Dans quel état êtes-vous ?”, “Qu’est-ce que ça vous fait d’être dans cette émission ?”)… 
Une fois sur le plateau, pendant qu’on installe les pianos, elle dialogue avec le public (“Ça va, vous n’avez pas trop froid ?”), le fait rire. Vient la fameuse chanson secrète. Les images diffusées ne mentent pas : elle est sincèrement émue, dira qu’elle était au bord des larmes – même si on la voit beaucoup sourire à l’écran. 
Dommage que la suite ait été réduite à sa portion congrue, Nikos Aliagas prononçait le nom du spectacle (“Toute une vie sans se voir”) et Véronique en profitait pour dire tout le bien qu’elle en a pensé (reprise le 15 février !).
 

Direction photo call pour finir. Chaque intervenant pose avec Véronique devant l’objectif d’un redoutable concurrent, Cyril Moreau. Violaine utilise une mèche de cheveux de sa sœur pour se faire des moustaches et Julie Rousseau et Bastien Lucas ont également les honneurs du shooting. J’en profite lâchement pour dégainer mon iPhone, pas certain que leurs portraits soient dans Gala demain matin…



21 novembre 2023

Souvenirs de tournage. Même Plaine Saint-Denis que la veille pour “La chanson secrète”, studio différent. On y croise d’emblée un Daniel Guichard et son chien, une attachée de presse qui fait des selfies avec un danseur de Mylène Farmer ou Nolwenn Leroy qui remonte du plateau et qu’on dirige habilement vers la loge de Véronique. 

Direction l’étage en dessous pour les répétitions d’un duo déjà multi-entendu sur Le petit visiteur, comme l’appelle maintenant Véronique. Le découpage sur le prompteur révèle quelques surprises : il manque des phrases et il y a des fautes. Déstabilisant. Véronique propose à Bruel de s’asseoir à côté d’elle à la fin de la chanson, ce qui se révèlera un poil périlleux pour atteindre les notes très aigües du clavier…

Habillage, maquillage, coiffage. Catering à côté de Michel Fugain. L’enregistrement du duo se fera avant le reste de l’émission. Soupir de soulagement car, inutile de le cacher plus longtemps, j’ai un peu de peine à subir la voix – cassée ou pas – de Patrick Bruel. Superbe lightshow sur le plateau. On se glisse sur le côté gauche, hors-champ des caméras. Le public est docile, applaudit ou fait des vagues avec ses bras dès qu’on le lui demande, est même autorisé à faire des photos (mais pas trop) mais ne devra rien divulguer avant la date de diffusion, comme le demande Bruel. Deux prises pour le duo, une petite anecdote sur la chanson que Véronique lui a demandé de terminer seul chez elle il y a belle lurette et retour en coulisses. 

On se retrouve la semaine prochaine pour “la Fête de la chanson française”… toujours avec Patrick Bruel…


30 novembre 2023


Souvenirs de tournage. Le Dôme de Paris. Ses quelques marches à l’entrée des coulisses où l’on se revoit immanquablement en mai 81, du temps du Palais des Sports… Ô temps suspend ton vol…

Deux étages plus bas, la loge de Véronique, tout au bout d’un long couloir jalonné d’affiches des spectacles qui ont eu lieu ici. Au moment de partir, on ne manquera pas de lui montrer celles où elle figure. 

On est à 5 minutes des répétitions, et Véronique suggère de revoir le découpage : “Vincent Dedienne ne peut pas chanter Quand j’étais belle et puis rebelle…”. Devant son miroir, elle lève les yeux pour choper notre regard amusé avec Catherine : “Euh… si si…”. “Ah bon, il est un peu…?”. Nous : “Il est même carrément… et tout va bien”. 

Bonne surprise sur le plateau : il chante vachement bien. Peut-être pas assez percussif aux oreilles d’aucune qui lui suggère de bien accentuer le “f” de “fou” – ce qu’il fera avec brio. On fait sauter le pont de Et je l’appelle encore. Place à Bernard’s Song (également largement raccourcie) avec l’ami Patrick Bruel, moins à l’aise, qui démarre avant la fin de l’intro, puis commencera par “Il est toujours bien rasé”… On la refait.

Retour en loge. Habillage, maquillage et coiffage avant de reprendre le long couloir pour l’enregistrement. Petit stress à l’arrivée : on a oublié le parfum, qu’on court chercher en loge. Vincent Dedienne s’enquiert de son nom. On en vaporiserait bien sur sa veste mais il est déjà sur les talons de Véronique.  

Deux prises pour le premier duo, une pour le second. Tout est nickel, sauf l’annonce au micro de l’ouverture de la “Fête de la… musique”. On coupera au montage et c’est Véronique et André Manoukian qui l’annonceront correctement – avec Véronique prenant un timbre parfaitement gaullien pour accentuer le mot “française”. On kiffe.

Re-retour en loge, Véronique en profite pour passer un moment avec ses musiciens, qu’elle n’a pas vus depuis un bail. Renaud et sa compagne pointent une tête. Il a absolument tenu à saluer Véronique, ce qui la touche sincèrement. Une photo ensemble pour ses réseaux avant de partir et hop une interview sur le pas de la porte : “Que représente pour vous la chanson française ?” “C’est ma vie”, dit-il, sincère.

Il est temps de partir. Sur le chemin vers la sortie, on évite les danseurs qui répètent dans le couloir et c’est au tour de Cali de témoigner toute son estime à Véronique en l’embrassant chaleureusement. 

Dehors, sous la pluie, patientent de nombreux chasseurs d’autographes. Certains sont venus avec de beaux tirages noir et blanc et l’un d’entre eux, pas fou, les tend retournés pour éviter la pluie, spécifiant qu’il faut qu’on les lui rende de la même façon. La voiture est prête à démarrer, on s’éloigne pour voir Véronique en ressortir de loin : on vient de lui dire que Grand Corps Malade venait de finir son passage dans l’émission et elle retourne en coulisses pour l’embrasser !